Etablissement Aurora
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 Un grand bavard & une infirmière sucrée

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Diego Puccinelli
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MessageSujet: Un grand bavard & une infirmière sucrée   Un grand bavard & une infirmière sucrée Icon_minitimeJeu 25 Juin - 19:33

    # Diego se laissa tomber dans l’un des gros fauteuils moelleux du foyer. En effet, cet endroit était apprécié par notre cher Diego, qui retrouvait ainsi ses années d’étudiants dans de tels lieux. C’était un endroit propice pour observer tout le petit peuple de l’Etablissement, mais également aux conversations. La salle était assez vaste, et confortable possédant également une belle cheminée qui réchauffait toute la pièce et lui donnait cet air plus convivial voire familiale en hiver. Pour cette période de l’année, une fin d’année était toujours agréable pour les professeurs comme les élèves, les grandes fenêtres du foyer était ouverte, laissant les effluves de l’extérieur venir chatouiller le nez du professeur. Diego avait été heureux de retrouver cette salle lors de son entrée à Aurora comme professeur, quelques années plutôt. En tant qu’élèves auparavant il avait pu y passer d’agréables moments. Bien entendu, il était dans cette salle proche des élèves. Il ne passait pas inaperçu mais peu d’élèves osaient venir l’interrompre dans sa lecture. Et c’était mieux ainsi sinon Diego aurait été interrompu sans cesse comme c’était parfois le cas lors des repas. Je peux tout à faite comprendre que cela soit gênant. J’ai testé avec Diego une fois…et je peux vous assurer qu’un élève passe au moins une fois toutes les dix minutes pour demander une explication à un devoir. Diego se sent bien plus à l’aise parmi les élèves que parmi les professeurs. Bien entendu cet endroit a été conçu pour les élèves, mais retrouver toute la joie et l’effervescence de la jeunesse…je peux vous assurer que ça redonne espoir. Le corps professoral est censé montrer l’exemple et Diego est tout sauf un bon exemple à suivre. Regardez…il est devenu professeur. Misère. Il pouvait devenir beaucoup mieux et pourtant après toutes ses années où je pensais qu’il allait devenir directeur de VitMagic, il se retire pour aller enseigner. La bonne blague ! J’ai cru que j’allais mourir. Quel gâchis je vous jure…En tout cas on ne m’y reprendra pas à deux fois et je déconseillerais fortement à Diego d’y aller. Cette salle est beaucoup plus confortable et libre que l’autre. Le seul soucis c’est que même ici, la tranquillité ne règne pas. Ce n’est que mon sentiment car pour Diego parler est tout un art et un plaisir. Il n’est jamais découragé à faire la conversation à quelqu’un, je ne l’en blâme pas même si je trouve que c’est un défaut. Bavard. Oui. Il est ainsi. Cela vous surprend n’est-ce pas ? Tous ceux qui le connaissaient encore jeune enfant sont surpris. Diego est un homme mur aujourd’hui qui sait croquer à pleine dent dans la vie et j’en suis heureuse pour lui –même si je sais que c’est grâce à mon illustre génie qu’il en est là- J’ai essayé de le faire évoluer et je crois que j’ai fait un bon travail même si lui ne s’en rend pas compte. Ainsi partout où il va, s’il rencontre quelqu’un qui lui paraît sympathique Diego engage aussitôt la conversation. Celle-ci débute avec des banalités de tous les jours, Diego est même capable de parler de la pluie et du beau temps sans trouver cela ridicule, mais également laisser partir la conversation sur des sujets plus sérieux dépassant Aurora allant plus vers la politique menait par la Ministère de la Magie et tout ce qui va avec s’il s’agit d’un adulte. Je ne suis pas très portée sur ce genre de chose et Diego est bien plus calé que moi en la matière. S’il s’agit d’un de ses élèves, Diego se montre d’autant plus curieux et bavard. Il aime connaître ses élèves, jusqu’à leur vie privée, leur fréquentations, leur projet d’avenir. C’est tout un plaisir de voir que les jeunes sont toujours aussi dynamiques qu’auparavant, toujours aussi créatifs et imaginatifs dans leur démarche. Il laissa son regard errer dans toute la pièce avant de revenir se poser sur la table basse où se trouvait le journal. Ce fut sans surprise pour ma part qu’il s’en empara. Que ce journal lui appartienne ou non, il le lirait puis le rendrait à son utilisateur. Diego se leva à moitié du fauteuil et tendit le bras pour attraper le quotidien en question. Il se réinstalla calmement dans le bon fauteuil bien moelleux, et déplia le quotidien tout en croisant les jambes. Il était assez synchronisé dans ses gestes. Par exemple l’autre jour il a réussi à se servir du café tout en se grattant le jambe du bout du pied gauche. Il en était fier le petit malin. Mais bon ce n’est qu’un exploit parmi tant d’autres. Laura, sa nièce, est un petit génie en elle-même, et je peux vous dire qu’elle est bien plus impressionnante que lui. Quant à Katia, sa grande sœur, c’est une petite fouine qui a toujours son mot à dire. Mais elles sont adorables, quoique j’aie parfois du mal à supporter leurs deux caractères réunis lorsqu’on mange tous ensemble. Il y en a toujours une pour parler, et l’autre pour changer de sujet. Elles aiment se contredire mais également contredire Diego. Bien entendu ce sont deux petites futées, mais quelles irrespectueuses elles sont également ! Heureusement que je ne suis pas leur mère mais juste une partie de leur oncle. Ainsi je n’ai pas mon mot à dire dans leur éducation. Mais avec Elena dans le coma…Il ne reste plus que Rodrigo, et vu comme je le connais ce n’est pas non plus le modèle parfait pour un père. Il n’est jamais à la maison, et les gâte pour se faire pardonner ses absences répétées. Heureusement qu’il y a Aurora pour les éduquer ces deux petites. Aurora et ses vieilles méthodes. Elles vont revenir dans le droit chemin…enfin je l’espère pour elle. Diego lui ne pensait pas du tout à ses deux nièces. Il était totalement obnubilé par la Une de la gazette. Ce n’était pas intéressant en soit –encore de la politique donc vous vous doutez de mon opinion sur ce genre de nouvelles- mais Diego lui avait l’air au contraire très imprégné par les informations qu’il lisait –ou plutôt dévorer-. Cela me donnait mal à la tête. Trop d’informations tue l’information. Pourtant il finit par pousser un petit rugissement, qui venait du fond de la gorge et tourna la page pour s’attaquer au corps entier du quotidien. Moi, personnellement, je n’aime guère les journaux. Ils sont pour là plupart, et surtout celui-ci tenus par des membres adhérents à certaines idées politiques, et le contenu va dans le sens des politiciens, qui sont selon moi corrompus, et mouillés dans les combines de certaines mafias. Après je ne m’y intéresse pas plus donc j’ai une vision assez limitée. Mais je préfère quand Diego écoute les informations à la radio ou discute avec d’autres professeurs. Je ne me fis pas à ce journal. Pour moi comme pour Diego le Mage de l’Etat n’est qu’un traite, corrompu jusqu’à la moelle, simple marionnette des mafieux. Diego laissa entendre un commentaire grinçant, tandis qu’il ouvrait une nouvelle page. #

      Diego :: On s’en fout que cet abruti de joueur de Quidditch grec préfère le chocolat blanc au chocolat au lait incrusté de noisette …fichue feuille de chou…


    # Vous pouvez vous douter quel air de satisfaction j’affiche actuellement. Diego a su entendre raison. Ce journal ne vaut rien. Le public lisant ce journal ne saura rien sur l’actualité du pays. Les gens sont bercés par des faits divers et des anecdotes. Le seul sujet qu’on leur propose c’est la rubrique people des plus grands joueurs de Quidditch. C’est avec une encore plus grande satisfaction que je vis Diego refermer le journal et lâcher un grand soupir. Bon. Il n’ouvrira plus ce journal avant quelques minutes. Profitons-en… Le bruit environnant de rires et des bruits de conversations des adolescents l’entourant le fit sourire presque stupidement. Il était bien ici. C’était parfait malgré l’environnement bruyant. #
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Letizia Armina
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MessageSujet: Re: Un grand bavard & une infirmière sucrée   Un grand bavard & une infirmière sucrée Icon_minitimeLun 29 Juin - 16:10

    Foyer ! oh petit foyer ! Que je t'aimeu, que je t'aimeeuu, que je t'aime ! Oui oui entre elle et lui c'etait une veritable et grande histoire d'amour et ce depuis de nombreuses années, fallait dire qu'il avait tout pour lui, il etait grand, beau chaleureux, en bref elle l'aimait. Dire que l'osmose existait depuis ses premiere années a l'école, a l'époque où elle n'etait encore qu'une petite scolari, elle allait tout le temps le voir, se posait dans un coin pres d'un chauffage, attendait que tout ses potes la rejoigne et alors elle s'eclater a parler de tout ses potes et de toutes ses fréquentations. Cette habitude elle l'avait garder, même quand le groupe c'etait séparé il avait ete la pour elle, lui gardant sa place prés du radiateur, elle, elle ramenait les gateaux et ça suffisait a faire le bonheur. Elle avait grandit depuis, elle avait quitté l'academie et dieu qu'il lui avait manqué ce petit foyer douiller, cet endroit ou elle avait prit l'habitude de se blottir avec son homme. Elle en avait testé d'autre des foyer, celui de l'ecole d'infirmiere, celui de l'hopital mais aucun, non aucun n'avait eut l'attraction de don foyer d'Etude ! ET au jour d'aujourd'hui, elle était revenue a son école ! Elle se souvenait du jour de son entretien d'embauche avec le grand bosse. Elle etait arrivée a Aurora bien a l'avance, surement un peu stressée, le concierge l'avait fait entrer et puisque le directeur etait occupé et que la gamine connaissait parfaitement l'école elle avait eut ' l'autorisation' , bon ok elle ne lui avait pas vraiment laissé le choix, des qu'on lui avait dit "ne peux pas vous recevoir tout de suite", elle avait filé, c'etait esquivée et avait semée le concierge pour retrouver son amoureux abandonné depuis des années, son foyer ! Il n'avait pas changé, toujours ce vieux flipper, toujours son vieux billard et encore, à son grand bonheur toujours son beau radiateur blanc... Toujours aussi canon et bien foutu celui la.

    Il y avait tellement de jeune ce jour la qu'elle etait presque passée inaperçu, il fallait dire que du haut de ses 25 ans la demoiselle ressemblait la majorité du temps a une adolescente même si ce jour la elle avait essayer de s'habiller un peu plus femme pour paraitre un peu moins... stagiaire... mais bon elle n'y pouvait rien c'etait sa morphologie, elle restait jeune ! C'etait totalement ce qu'on appelait une adolescente éternelle... En bref elle avait ete s'assoir dans son fauteuil fetiche pas prit pour le moment et c'etait posée calmement à observer tout ce qui l'entourait. Rapidement quelque jeunes l'avait approché, des dernieres années, qui n'avaient que 4 ou 5 années d'écart avec elle, ils avaient rapidement fait connaissance et avaient installés une bonne ambiance, il fallait dire que Letizia n'avait aucun mal a s'inclure dans un groupe et la jeunesse de ses interlocuteurs ne l'avait nullement dérangé. N'etait elle pas jeune elle aussi aprés tout ?!? Elle avait finalement dut s'esquiver pour aller passer son entretien d'embauche, mais pour le coup elle etait détendue et plus du tout dans l'esprit de se vieillir alors si le patron l'embauchait, il le ferait en sachant exactement qui elle etait. Enfin de toute maniere puisqu'elle avait ete etudiante ici et qu'elle connaissait toute les conneries possible et imaginable, elle connaissait un peu le bureau du proviseur et son dossier d'étude a Aurora etait homologué "pur chieuse", alors si le directeur n'avait pas vu qui elle etait c'etait que vraiment il devait se racheter une paire de lunette... Mais bon vu qu'il l'avait embauché il faudrait peut être lui en racheter une quand même en cadeau de fin d'année !

    Toujours etait il que voila un an que Letizia occupait la fonction d'infirmiere et elle ne pensait pas s'en être trop mal sortit... Elle avait bien fait raler le big boss mais elle etait finalement parvenu a ce qu'elle voulait. En cette periode d'examen elle avait un peu plus de boulot, entre les petit bobo et le stress des jeunes eleves, les crises de nerfs a calmer ainsi que les crises de larmes et puis avec ce temps chaud, c'etait bien connu et reconnu, les tensions étaient exacerbés et les nerfs mit a vif alors autant dire que les guerre de clan entre les jeunes etait frequente! Ce la revoltait la jeune brune ! Elle avait connut ça aussi a son époque, bon dieu pourquoi des gamins sencés vivre leur adolescence a fond faisaient ils ça ? Ne pouvaient ils pas oublier l'espace d'une année la guerre de leurs parents ? Il faudrait un jour faire comprendre que le combat des adultes n'etait pas celui des enfants... Elle esperait bien que les années qui passeraient mettraient du plomb dans la cervelle de certain parceque la il y en aurait vraiment besoin... Mais bon en ce moment la priorité c'etait les exam' de fin d'année et par ce temps, la brune avait insisté pour que chaque eleve ait une bonne hydratation et ce qu'il fallait pour être dans les meilleurs conditions de santé possible aussi faisait elle regulierement des distribution de bouteille d'eau et de gâteaux dans les salles où les eleves planchaient durant des heures entiere. Ca avait fait raler quelques professeurs grognon disant que les eleves n'avait pas besoin de ça mais elle n'avait pas laisser le choix, etant elle même habituée à subir des examens et soignant en ce moment beaucoup de deshydratation, elle savait ce dont ils avaient besoin, donc c'etait obligatoire !

    Ce jour ci la jeune infirmiere faisait son habituel tour de l'école et finissait par le foyer, les bras chargé d'un colis... Encore un envoyé par sa mere remplie de sucrerie... Il fallait vraiment qu'elle fasse comprendre a sa maman cet ete qu'elle n'etait pas cuisiniere et pas la pour rendre les eleves malades mais pour les soigner. Elle passa la porte du foyer et aussitôt quelques jeunes gens vinrent l'aider a porter ce qu'elle avait a porter, elle le laissa faire avec un doux sourire et se libera les bras, gardant tout de même une boite dans les mains, celle ci c'etait la sienne ! Letizia avait l'avantage d'être appreciée des eleves, bon faut dire que les sucreries aidaient, même auprès des dernieres années et cela adoucissait les caractere donc la confiance se faisait plus facilement. Puis elle etait jeune, elle avait la peche et quasiment leur age donc c'etait plus simple pour elle. Parmi le fouillis des élèves qui venait profiter avec plaisir de ce que la brune avait emener elle repera Diego dans un coins a lire son journal. Oh ça, ça pouvait être sympa, elle aimait bien Diego, c'etait un grand ami de son professeur fetiche et protecteur 'Deo. Elle se faufila vers lui et vint se laisser tomber dans un fauteuil à ses cotés et lui dit avec un grand sourire.


Letizia : " Salute beau jeune homme ! J'ai un secret pour toi mais shuuuuuut si les eleves le voit on va se faire aplatir ! "

    Elle fit mine de jeter un coup d'oeil autour d'elle et comme un espion sortit de son sac la boite veillant a ce qu'on ne la regarde pas pour le delire. Elle ouvrit a moitié le couvercle pour qu'il regarde les cookies fait maison de sa maman sans que les autres ne les voient. Si les jeunes voyaient ça ils risquaient la mort par ecrasement ou ettoufement tout les deux !
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Diego Puccinelli
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MessageSujet: Re: Un grand bavard & une infirmière sucrée   Un grand bavard & une infirmière sucrée Icon_minitimeSam 4 Juil - 21:49

    Un froissement de vêtements fit relever la tête à Diego. Ses yeux suivirent les longues jambes de l’infirmières, pour remonter jusqu’à son visage épanoui et rieur, d’un regard pétillant et heureux. La compagnie de Letizia ne lui était pas désagréable, loin de là. Même s’il n’affectionnait pas tant que cela d’avoir des liens étroits avec de jeunes adultes qui auraient pu être ses enfants, Diego avait le contact très facile et s’entendait bien avec tout le monde. Moi, ce fut avec un regard bien plus sévère, comme vous pouvez vous en douter, que je regardais la belle jeune femme s’installait dans un confortable fauteuil à proximité de celui de Diego. Amadeo, celui pour qui j’aurais batti des paupières si je n’avais pas été réduite à l’état de simple conscience, affectionnait cette jeune femme. Je l’avais bien compris. Très protecteur avec elle, ne serait-ce que dans ses gestes ou ses propos, je ne pouvais qu’avoir quelques rancoeurs envers cette jeune femme remplie de toute la jeunesse que je n’avais jamais et que je n’aurais jamais. Elle avait un corps, une âme, une intelligence brillante, tout pour elle. Et pourtant au lieu de voyager à travers tout le pays, voire le monde, elle se terrait parmi tous ses vieux professeurs et ses élèves bruyants, à Aurora…étrange situation. Je ne pouvais en aucun cas la comprendre. Moi j’avais été heureuse de pouvoir voyager en Diego. De découvrir le monde. Mais elle, si curieuse était venue travailler dans l’endroit le plus éloigné du reste du monde. Certes l’Etablissement devait être vue comme une grande pension, où petits et grands se côtoyaient. Mais il m’était très difficile de comprendre qu’une jeune femme sortant à peine de huit longues années d’étude ici revienne pour y travailler. Diego et moi on ne pensait qu’à partir lors de sa huitième année. Enfin lui plutôt à vivre sa passion avec Elena. Mais moi je savais qu’on voyagerait. Qu’on bougerait. J’en avais l’intime conviction. Pourtant cette jeune femme connaissait-elle vraiment le monde extérieure ? Cette insouciante, grande gamine, avec ce petit air enfantin flottant sur son beau visage doré à cette époque. Elle était jolie, je ne pouvais le nier, Diego était du même avis que moi, même si son cœur à lui ne bat que pour Elena. Elena, qui est toujours allongée au centre hospitalier. Diego tendit l’oreille et toutes ses pensées en rapport avec le journal qu’il venait de lire s’évaporèrent lorsque la jeune femme parla.

    Letizia :: Salute beau jeune homme ! J'ai un secret pour toi mais chuuuuuut si les eleves le voit on va se faire aplatir !

    Tout aussi intrigué que moi, le professeur se pencha un peu plus vers Letizia comme si elle allait lui donner quelques explications supplémentaires. J’étais moi-même très curieuse de découvrir ce que tout cela signifiait. Qu’est-ce que la jeune infirmière avait encore manigancé ? Oui je l’avoue, je suis une pointe jalouse d’elle, et c’est bien normal s’il y a quelques onces d’amertume dans mes propos. Mais qui puis-je si je ne puis être impartiale avec elle ? Mes sentiments ne sont pas ceux de Diego. Lui je le sens plus que curieux à ce moment précis. Il espère que Letizia lui délivre son secret au plus vite. La situation l’amuse. Il ne se sent nullement cerné par les élèves qui l’entourent, mais le jeu théâtral de Letizia le fit sourire. Il fronça tout de même les sourcils, essayant de garder son sérieux. Letizia devait être crédible n’est-ce pas ? Même si le sérieux ne devait pas souvent la connaître. Il l’appréciait cette gamine, je le savais bien, et puis ce n’était pas moi qui allait lui indiquer qui fréquenter et qui ne pas fréquenter dans cette école. Elle ne lui avait rien fait. Moi je suis juste très critique à l’égard des autres femmes qui croisent la route de Diego. Pourtant je suivis des yeux à travers le regard de Diego, chaque mouvement que faisait la jeune femme. Elle cachait quelque chose j’en étais certaine…j’en aurais mis ma main au feu. Mais je n’avais personne avec qui parier. Diego lui restait dans l’inconnu total. Il n’avait pas assez de forces et de motivation pour réfléchir plus que mesure. C’est pourquoi il ouvrit dans grands yeux en voyant la gamine sortir de son sac une boite en carton. J’en étais sure. Je vous l’avais bien dit, j’ai du nez pour ça. J’avais du être policière dans une autre vie ou j’avais eu deux jambes et un vrai corps, ainsi qu’une tête rien qu’à moi. Diego se pencha encore plus sur son accoudoir, en lançant un regard convoiteur aux cookies qui lui étaient présentés. Il les aurait bien tous avalé, mais son éducation voulait qu’il soit poli. C’était un brave garçon mon Diego n’est-ce pas ? Je comprenais maintenant ce que les paroles de Letizia signifiait. L’endroit était en effet mal choisi pour montrer de tels biscuits. Le public alentour pouvait à tout moment découvrir la boite et la leur piquait comme de vrais garnements. Diego se rassit dans son fauteuil, essayant de paraître le plus normal qu’il lui était possible malgré la tentation de mettre la main dans cette boite et d’en retirer au moins un gâteau. C’était un grand gourmand il faut bien l’avouer. Il laissa donc entendre à mi-voix, suivant le jeu que Letizia avait commencé :

    Diego ::Diego « Mais tout cela m’a l’air délicieux ! Serait-il possible…que ce secret soit…partagé entre nous deux ? Bien entendu on se doit d’en laisser aux autres…ce ne serait pas…correct n’est-ce pas ?

    Il lança un petit regard malicieux à Letizia. Cette gamine était vraiment formidable dans le fond. Pleine de surprise. Il comprenait mieux chaque jour qui passait pourquoi tant d’élèves l’appréciaient. Elle était pleine de ressources diverses, et il venait d’en avoir la démonstration même. Elle avait réussi à le surprendre. Moi-même je ne m’étais pas attendue à voir des gâteaux aussi appétissants sous mes yeux. Les avait-elle préparé elle-même ou était-ce un cadeau d’un de ses admirateurs qui comme Diego allait bientôt baver sur elle ? Celui-ci reporta de nouveau son regard vers la boite à cookies et demanda avec un nouveau sourire, les yeux pétillants :

    Diego :: Et c’est toi qui les a fait ? Au fait…je peux…goûter ?
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Letizia Armina
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MessageSujet: Re: Un grand bavard & une infirmière sucrée   Un grand bavard & une infirmière sucrée Icon_minitimeVen 7 Aoû - 14:02

    La jeune infirmiere fit un de ses immenses sourires malicieux dont elle avait le secret quand Diego consentit a lever la tête (de tout maniere il n'avait pas besoin de la lever tres haut avec elle xD ) pour la regarder. Letizia avait prit l’habitude, de par son metier, de parler a tout le monde, qu’ils soient jeunes ou vieux, elle se devait d’être la pour chacun d’eux et puis elle avait Amadeo comme protecteur alors parler avec Diego etait loin d’être un grand soucis pour elle. Surtout que ce presque quarantenaire etait du même genre que son ancien professeur, ce n’etait pas pour rien qu’ils etaient amis apres tout, et c’etait ces petits traits de caracteres commun et en meme temps ce petit cote different et etourdi qu’elle appreciait particulierement. Elle c’etait donc assise a ses cotés et cela n’avait apparemment pas l’air de deranger celui qu’elle appelait parfois pour elle-même «l’illusionniste » pour son don pour les sortilèges. Il fallait dire que malgre son cote chieuse particulierement présent l’infirmiere etait plutot appreciée des personnes qu’elle cotoyait, elle avait a cœur le bien être de ses proches ainsi que celui de ses patients. Son cote dynamique faisait d’elle quelqu’un avec qui on ne s’ennuyait pas et cela rajoutait surement a son charme. Mais alors pour quelqu’un débordant de l’envie de mordre la vie a pleine dent comme comme elle beaucoup se demandait pourquoi elle etait venue s’enterrer dans un endroit comme cette ecole de magie alors qu’elle aurait put sans soucis decouvrir le monde. A cette question elle repondait le plus souvent avec humour qu’elle n’etait pas aventuriere et pas très douée en langue, c’etait ce qu’elle avait dit au big boss quand il lui avait demandé d’ailleur. Cependant pour elle la verité etait ailleur, d’une elle avait passée de magnifiques année ici et donc il y avait pour elle un certain attrait a ce poste mais aussi pasque venir en aide a des adolescents meprisant les adultes et pris dans une guerre qui ne les concernaient pas mais dans laquelle il prenait parti etait pour elle le plus grand des defi qu’elle pouvait se donner et il lui semblait evident que c’etait a leur cotés qu’elle apprendrait le plus. Et puis ce poste a Aurora lui permettait avec l’aide de son ancien professeur de s’absenter de temps a autre pour voir ses proches et les aider, notamment en travaillant au bar durant quelques soirées. Non Leti’ n’etait pas idiote, loin de la, il ne fallait pas s’arreter a son air insouciant, pour elle aurora n’etait pas une prison, c’etait le berceau de tout, c’etait ici que tout commençait et que le mode se creait car c’est dans l’education des jeunes sorciers ou sorcieres qu’on batit le monde de demain. Il y avait beaucouo de travail sur ce domaine la et la jeune femme mettait tout son cœur a cette dur tache.

    Diego ::Diego « Mais tout cela m’a l’air délicieux ! Serait-il possible…que ce secret soit…partagé entre nous deux ? Bien entendu on se doit d’en laisser aux autres…ce ne serait pas…correct n’est-ce pas ?

    Delicieux, ça c’etait sur cela parraissait vraiment delicieux, une agréable odeur chocolaté se degageait des biscuit confectionnés avec amour par sa chere maman. De ressources, elle n’en manquait certainement pas, dynamique la jeune femme trouvait toujours quelque chose a faire et quelque chose pour remonter le moral d’un eleve ou d’un proche. Toujours prit dans son jeu du petit secret la demoiselle fit un leger chuuuuuuuuut et s’adressa a lui dans un murmure amusé de sa propre combine.

    Letizia : Il serait… possible… que je te partage mon secret… mais attention… a une condition… Il faut que… tout cela… reste…. Un secret !

    Lati’ s’eclatait et prenait grand soin de detacher chaque mot pour avoir l’entiere attention de Diego. Elle ne put rester dans son jeu et contenir un grand eclat de rire quand il lui demana si c’etait elle qui les avait fait.

    Diego :: Et c’est toi qui les a fait ? Au fait…je peux…goûter ?

    Letizia : J’aurais bien aimer savoir faire ça… pourtant c’est pas faute d’avoir desesperé ma mere a essayer sans succes. Non ça vient des fameux colis de ma moman, c'est elle qui les a fait… Je t’en prie sert toi c’est fait pour ça tu m’en diras des nouvelles.


    L'infirmiere lui tendit d'ailleur la fameuse boite aux secrets, attendant qu'il se serve avant de prendre elle même un de ses succulant gateau pas tres bon pour sa ligne.
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MessageSujet: Re: Un grand bavard & une infirmière sucrée   Un grand bavard & une infirmière sucrée Icon_minitime

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